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Lundi 23 octobre.

Nous partons de l'hôtel de bonne heure.

On arrive à chopper un vendeur d'eau en chemin. À 10GTQ le Garafon, on fait le plein du réservoir en bord de route.

Achat de quelques pommes un peu plus loin. Pas la peine de trop se charger, il va falloir donner le surplus à la frontière dans quelques jours.

La traversée de San Marcos est un peu cahotique entre les bus qui s'arrêtent tout le temps et les déviations qui nous entraînent dans de toutes petites rues...

On finit par retomber sur la double voie et on arrive même à trouver l'entrée du parc municipal de la ville. Babé veut y spoter car il a l'air d'y avoir une belle forêt. Mais en se renseignant auprès de la maison qui se trouve à l'entrée du chemin, il s'avère que l'on ne peut pas monter jusqu'en haut et bivouaquer avec TiNéfant.

Il faudrait bivouaquer sur place contre une petite donnation.

L'endroit est à l'ombre, en pente et ne me botte pas plus que ça avec ses déchets éparpillés un peu partout.

On finit par rebrousser chemin et reprendre la route pour se rendre un peu plus loin au Refugio del Quetzal (14.938138,-91.874599).

Situé à 1810m d'altitude, la route zigzague et descend fort pour y aller. Heureusement et même étonnemment, elle est en très bon état. Un vrai tapis !

On abandonne la forêt de pins pour retrouver de la forêt humide tropicale.

Ce refugio est géré par la municipalité du coin. Tout est encore tout neuf.

C'est normalement 50GTQ/pers. étrangère/jour. En arrivant à 11h, les nuages envahissent déjà les lieux. Sans rien demander, l'employé qui récolte les sous ne nous fait payer que 150GTQ au total pour deux jours. Sympa.

Cette réserve est situé non loin de la route. Beaucoup de bruit des freins moteur des camions... On peut bivouaquer sur le parking avec accès aux WC.

Il y a un mirador et deux sentiers dans la jolie forêt à flanc de colline.

Babé part spoter sur le premier sentier après une grosse averse. Je reste sur le mirador.

Rien.

Les nuages nous entourent à nouveau à la tombée de la nuit. Il est temps de rentrer pour un bon gâteau.

Le lendemain, lever tôt pour aller faire les sentiers toute la matinée.

On cherche et cherche encore. Rien.

Pas l'ombre d'une queue ni même un cri.

Rien.

Décidément, on n'a pas de chance avec cet oiseau. Apparemment, la meilleure saison pour le voir est de janvier à mai lorsqu'il niche.

Des copains verront une femelle deux jours plus tard...

Oh well, c'est pas grave. Ça nous donne une bonne excuse pour revenir !

Cette forêt est très jolie et on sait déjà qu'on reviendra avec plaisir.

En attendant, on se contente des faux Quetzales à l'entrée du refugio.

L'après-midi se passe à nouveau avec la tête dans les nuages.

Babé va voir le gardien pour savoir s'il faut donner quelque-chose pour la nuit. Non, rien. Cool !

Dodo un peu interrompu par les freins moteur.

 
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